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 Eléonore de la Plaigne [Terminé]

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Éléonore de la Plaigne
Éléonore de la Plaigne
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Messages : 14
Date d'inscription : 03/01/2011
Age : 36
Localisation : Près de Napoléon

Feuille de personnage
Désirs: Rester la seule dans le coeur de l'Empereur
Secrets: Elle semble très malade en ce moment... Qu'est-ce que ça peut bien être ?
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MessageSujet: Eléonore de la Plaigne [Terminé]   Eléonore de la Plaigne [Terminé] EmptyLun 3 Jan - 7:07

Eléonore de la Plaigne
Feat._____ Coco Rocha

  • Age
19 ans
  • Titre ou métier
Maîtresse de l'Empereur
  • État social
Divorcée d'un époux qui s'est révélé être un escroc.
  • Origines
Eléonore est issue d'une riche famille bourgeoise parisienne.

« Qu’une danse emporte ma vie »
    Paris, Septembre 1787.


▬ Cela a commencé ?
▬ Oui, Monsieur.
▬ Veillez à ce que Madame ne manque de rien.
▬ Bien, Monsieur.

Un cri se faisait entendre. Un cri qui résonnait dans l'immense bâtisse. Un bâtiment somptueux, digne du rang de ses propriétaires. Le manoir s'étendait sur plus de 1500 mètres carrés, sans compter les hectares de domaine qui l'environnait. Mais rien n'était trop beau pour une des familles les plus puissantes de Paris. Les de la Plaigne avaient gagnés leur particule, voila de cela plusieurs siècles et leur richesse s'était accru considérablement. Et il vivaient comme les aristocrates qu'ils n'étaient plus. La Révolution étant passée par là, les charges qu'ils possédaient leur avait été retiré. Quand on a les moyens de ses ambitions, ce n'est guère un problème. En cette soirée donc, le manoir résonne des cris d'une femme. Une femme qui n'est autre que Françoise-Charlotte-Eléonore Couprie. Pour une fois dans sa vie, elle n'est plus un titre, un rang, c'est juste une femme qui souffre des douleurs de l'enfantement. Les dames de chambre se pressent autour d'elle, lui tenant la main tandis que la sage-femme guide ses efforts pour la délivrance.

▬ Respirez, madame. Vous y êtes presque ! Encore un petit effort.

Des halètements, des râles. Et soudain, un cri. Un cri strident, vivant. De petits poumons avalent goulûment l'air, avide d'oxygène. De vie. La femme étendue dans le lit a les traits tirés, la mine pâle. Mais un maigre sourire inquiet étire ses lèvres. La sage-femme enveloppe délicatement le nouveau-né dans des langes. La mère se redresse, visiblement tendue. Sa voix fatiguée résonne alors :

▬ Et bien ?
▬ C'est une fille en très bonne santé, Madame.

Le soulagement se peint sur les traits de la jeune femme.

▬ Allez en informer Monsieur.

La sage-femme disparaît après avoir déposé doucement le bébé dans son landeau prévu à cet effet. Quelques minutes plus tard, Monsieur pénètre dans la pièce. Son visage est rayonnant et un franc sourire l'éclaire davantage. Il fait quelques pas et contemple le bébé. Puis, il tourne la tête vers son épouse.

▬ Vous avez comblé tous nos vœux avec cet héritière, très chère. Je vous laisse vous reposer à présent.

Monsieur fait demi-tour et s'apprête à sortir. Soudain, il s'arrête et demande :

▬ Mais au fait, Madame, avez-vous songé à un prénom qui vous ferait plaisir ?
▬ Oui... Eléonore.


    Paris, Janvier 1805.


Eléonore ! Attends !

La jeune fille d'une quinzaine d'année courrait s'en s'arrêter pour atteindre la première le parvis du couvent. Elle savait pertinemment que Madame Campan allait encore la sermonner mais elle n'en avait cure. La jeune Pauline Bonaparte continuait de la courser, et elle ne comptait pas perdre la partie.
La vie était plus douce pour Eléonore. Elle restait discrète, peu bavarde et ne s'intéressait pas à grand chose. La seule personne avec qui elle s'était liée, c'était Pauline, qui avait à peu près son âge, et les autres soeurs de Napoléon. Madame Campan lui avait rappeler que le pêché de paresse la guettait mais Eléonore s'était contentée de hausser les épaules. Elle courrait à présent comme une dératée pour obtenir la victoire. Ses pas l'entraînèrent plus vite qu'elle ne l'aurait voulu et elle s'affala la tête la première contre les marches du pensionnat. Pauline, arrivée quelques secondes plus tard, se jeta sur elle, inquiète :

Eléonore, tu t'es fais mal ?

Elle la retourna, le coeur battant, mais ce fut un grand sourire et une Eléonore lui tirant la langue qu'il aperçut.

Oh, arrête, t'es pas drôle ! Tu m'as fait peur, je pensais que tu t'étais blessée.

Eléonore sourit de plus belle.

J'ai gagné. C'est tout ce qui importe.

La jeune fille s'assit sur les marches, profitant du beau soleil qui réchauffait la capitale. Un instant de silence plana entre les deux jeunes filles. Cela faisait quelques jours que Pauline était bizarre. Elle semblait soucieuse. Il y avait plusieurs fois de suite où elle avait tenté de dire quelque chose puis s'était ravisé. Eléonore était en pleine réflexion afin de trouver une raison lorsqu'elle sentit un contact chaud contre sa main. Elle tourna la tête. La main de Pauline reposait à présent sur la sienne. Euh... La voila peut-être la raison, en fin de compte, elle allait la connaître ! Et pour que Pauline soit si près d'elle, cela devait être quelque chose d'assez choquant... Eléonore eut un sourire gêné. Et ces minutes qui défilaient de plus en plus sans que Pauline se décide à lui parler. Le coeur de Eléonore battait de plus en plus vite, de plus en plus vite. Elle avait l'impression qu'il allait quitter sa poitrine et partir loin, très loin... Qu'y avait-il ? Paniquée, elle aperçu Madame Campan, le visage sévère, qui arrivait à grand pas vers elles... Aussi, la surprise fut grande lorsqu'un grand sourire illumina les traits de Madame Campan.

▬ Vite, Eléonore. Venez avec moi.

Interdite, elle suivit Madame Campan qui marchait à une vitesse incroyable. Elles parcourent les longs couloirs, ne s'arrêtant à aucune porte. Finalement, arrivés tout au bout de l'aile ouest, la femme lui ouvrit la porte donnant sur une pièce dans l'obscurité. Eléonore interrogea Madame Campan du regard et celle-ci lui fit signe d'entrer. Eléonore aperçut alors un homme à l'air sévère qui avait fière allure dans son bel uniforme. Le coeur battant, elle se rapprocha et salua du mieux qu'elle pouvait. Madame Campan se rapprocha et lui posa la main sur l'épaule.

▬ Jean-Honoré-François Revel. Il est officier de dragons. Il est envoyé par vos parents, après avoir demandé votre main, pour vous rencontrer, Eléonore. C'est votre futur époux.

Un grand sourire s'afficha sur le visage d'Eléonore. Elle avait un époux officier ! Elle se tourna vers Madame Campan; Mais soudain, elle sentit une douleur au niveau de l'oreille. La femme l'avait saisi à cet endroit et le traînait à présent hors de la pièce.

▬ Et maintenant, si vous le permettez, nous allons régler la petite affaire de tout à l'heure, dans le parc.

En grimaçant, Eléonore suivit Madame Campan. Décidément, elle avait très bonne mémoire... A partir de cet instant, plus rien ne serait jamais comme avant...


    Paris, Mars 1805.


▬ Oh, ma pauvre enfant ! Faussaire, dites-vous ? C'est abominable !

Le visage rouge de honte, Eléonore venait de narrer à son amie de toujours, Madame Murat, les pénibles mésaventures qui lui étaient arrivés. Tout avait pourtant si bien commencé... Mariée, Eléonore avait été comblée. Peut-être l'amour lui aveuglait-il les sens et l'empêchait-il de percevoir la réalité. Toujours est-il qu'elle n'avait passé que deux mois en compagnie de son époux. Et elle avait subi un véritable déshonneur lorsque, deux mois après son mariage, des officiers avaient frappés à leur porte, avaient accusé son mari d'être un escroc et l'avaient emmené de force pour être emprisonné. Eléonore était perdue, et la haine lui brûla le coeur de s'être fait dupée si aisément. Elle s'était alors réfugiée chez la seule amie qu'elle avait, Madame Murat, princesse impériale.

▬ Ne vous en faites pas, ma chère. Je ne vais pas vous laisser dans le besoin. J'ai grandement nécessité d'une lectrice, voyez-vous. Vous feriez la candidate idéale. N'est-ce pas, mon ami ?

Eléonore se retourna. L'époux de son amie était un proche de l'Empereur. Elle le dévisagea. Bel homme et, à la manière dont il la contemplait, le jugement devait être réciproque. Eléonore lui adressa un sourire. L'homme sembla stupéfait puis, comme dans un rêve, hocha la tête et bredouilla :

▬ Bien sûr, ma mie. Une excellente idée...

    Paris, Octobre 1805.


Les fastes de la pièce stupéfièrent Eléonore. Elle écarquilla les yeux et contempla les dorures, les glaces aux cadres somptueux, les tables élégamment décorées, les invités tous plus impressionnants les un que les autres. Elle aperçut le grand Talleyrand lui même. Eléonore faisait bonne figure et tentait de paraître naturelle. Certes, elle était une femme de bonne famille, élevée dans la bonne société. Mais elle n'était guère habituée à ce luxe. Elle était à cette réception organisée par l'Empereur sous invitation de Murat, le mari de son amie, qui était à présent également son amant. L'homme lui avait proposé d'approcher l'Empereur en personne et Eléonore avait accepté. A présent, elle le regrettait. Elle était tellement nerveuse... Elle avait entendu tellement de choses sur Bonaparte. Qu'il était fort, courageux. Un homme droit et intègre. Un boucher pour d'autres. La jeune femme secouait nerveusement son éventail. Elle sentit son coeur faire un bond en entendant :

▬ Faites place à l'Empereur !

Eléonore se retourna, en même temps que toutes les personnes présentes. Le silence se fit et Napoléon Bonaparte entra dans la pièce. A l'instant où Eléonore le vit, elle sut. Son coeur rata un battement, sa gorge se serra devant la noblesse de ses traits, le port aliter de son maintien. Plusieurs courtisanes vinrent lui présenter leurs respects. Des jeunes femmes d'un rang haut placé, qui avaient ainsi droit d'approcher l'Empereur les premières. Eléonore croisa le regard d'une femme aux côté de Napoléon. Elle lui adressa un grand sourire. Elle eut un choc en reconnaissant Pauline. Comme elle avait changé en si peu de temps ! Voir un visage familier la rassura et elle trouva enfin le courage, aidé par Murat, pour approcher l'Empereur. La main posé sur celles de son amant, il la mena près du trône où Bonaparte s'était assis. Murat prit la parole.

▬ Majesté, Eléonore De la Plaigne, récemment sortie du pensionnat de Madame de Campan.

Eléonore fit une révérence impeccable. Le rouge aux jours, elle n'osait regarder Napoléon dans les yeux. Soudain, elle sentit un contact doux sur son menton. Elle se rendit alors compte que le Monarque s'était levé, approché d'elle et lui relevait doucement le visage. Elle se laissa faire, son regard rencontrant enfin ceux de Bonaparte. Un long moment passa, en silence. Le coeur de la jeune femme lui faisait mal, sa respiration était saccadée. Elle entendit sa voix douce s'élever, bien audible de tous :

▬ Je vous souhaite la bienvenue à la Cour, Madame.

Mais, plus bas et pour elle seule, elle entendit un murmure :

▬ Ce soir, au coucher du soleil, chez vous.

Eléonore salua et prit congés. Elle ne pensait pas en cet instant qu'elle venait de se rapprocher de l'homme qu'elle aimerait tant...
« Qu’elle est belle quand coule son rimmel »
Ca, on peut dire que Eléonore est une femme qui ne laisse personne indifférent sur le plan physique ! Il suffit de la regarder et de la contempler pour être ébloui. Eléonore est une jolie femme.
Le visage est-il le reflet de l'âme ? Eléonore ne serait guère lésée dans ce cas. Son visage est grave mais ouvert, on sent que c'est une femme qui reste à l'écoute des autres. Des pommettes bien dessinées, des joues d'une couleur diaphane, des lèvres délicates font d'elle une jolie fille, il n'y a pas de doute.
Ce qui frappe d'abord chez Eléonore, ce sont ses yeux. Des yeux d'un vert tirant sur le bleu. Un regard envoûtant, ressemblant à une larme de ciel. Mais ne vous y trompez pas, Eléonore n'a pas toujours un regard charmeur. Aux heures de la colère, ses yeux se chargent d'électricité semble-t-il et peu nombreux sont ceux qui peuvent affronter ce regard. Ses grands yeux transmettent toutes ses émotions. Eléonore est un livre ouvert. On peut savoir ce qu'elle pense, quand on la connait bien.
Sa chevelure est de toute beauté. Ses cheveux sont longs, épais et soyeux. Cependant, elle préfère les porter attachés. Elle est naturellement brune mais il lui arrive de se teindre les cheveux en noir ou autre. Elle aime bien le changement. Elle apprécie se nouer les cheveux, réalisant des coiffures excentriques et compliquées.
La belle a un nez fin, aux ailes que l'on dirait ciselées par les sculpteurs grecs. Une petite moue peut provoquer un froncement de cet adorable appendice, lui donnant l'air d'une gamine contrariée.
Les lèvres de Eléonore sont de toute beauté. Charnues et pulpeuses, nul ne peut résister à son sourire qui laisse apparaître des dents blanches parfaitement alignées. Sa bouche est comme un fruit que l'on meurt d'envie de croquer...
Enfin, le corps de la jeune femme n'a que peu de défauts. Disons que ses défauts et disproportions la rendent plus charmante encore. Altière, fine et élégante, elle a une démarche féline. Son port de tête altier la fait ressembler à une Reine, même lorsqu'elle est habillée de façon simple. Des bras délicats et cependant vigoureux, une poitrine relativement importante, une taille de guêpe, des hanches dont la cambrure subjugue, et enfin de longues jambes parfaitement galbées. Que dire de plus ?
« Que vois-je, Madame, vous rendrais-je écarlate?»
Le maître mot du caractère de la jeune femme est : l'impertinence. Une impertinence désarmante, charmante qui la rend à la fois forte et fragile. Elle l'est, fragile. Mais elle sait également se défendre. Elle est courageuse et patiente. Des qualités dont elle fait preuve dans la vie de tous les jours. Elle est d'un caractère accommodant, même s'il ne faut pas non plus lui marcher sur les pieds. Eléonore est une femme fidèle, en amitié tout du moins. Elle ne trahira jamais ses plus proches amis car elle a un sens aïgu du devoir et de la reconnaissance. Eléonore peut cependant être perçue comme quelqu'un de têtue lorsqu'elle a une idée en tête. Elle est également particulièrement rancunière si quelqu'un l'a blessé ou fait du mal. Elle ne pardonne pas facilement. Une fois que les barrières ont été franchies, c'est terminé. En clair, il n'est pas facile de la vexer mais si vous y arrivez, tirez définitivement un trait sur elle ! Eléonore reste quelqu'un d'attachant, de doux et d'attentionnée envers son entourage.
Originalité... Voila le maître mot du caractère de la jeune femme. Un fil conducteur de sa psychologie. Une jeune femme en complet décalage avec son environnement. Comme si l'humour et la légèreté était la meilleure barrière au désespoir. La première chose qu'on peut penser d'elle, c'est "qu'est-ce qu'elle est allumée celle-là" ! Complètement excentrique, Eléonore aime se faire remarquer. Et elle y arrive particulièrement bien. On ne sait jamais trop où se situe la frontière entre le jeu et la réalité avec elle. C'est une femme généreuse, qui aime partager avec les autres. Eléonore est très sociable, il est rare de la voir seule. Elle aime le contact avec les autres. Un caractère fort, cela est certain. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, elle est directe et franche. Si quelque chose ne lui plait pas, soyez assuré que la miss saura vous le faire remarquer. La jeune femme est quelqu'un de tout sauf pondéré. Elle vit à fond, à cent à l'heure. Soit elle adore soit elle déteste. Noir ou blanc. Pas de demi-mesure chez elle.
« J’avais rêvé d’une autre vie… »
Des regrets ? Mieux vaut avoir des regrets que des remords, dit-on. Les seuls regrets qu’elle pourrait avoir sont très peu nombreux. Ce n’est guère bon pour le moral de passer son temps à regretter ce qui est derrière soi. Ceux de n’être pas l’épouse de ce cher Napoléon. C’est une femme qui aime, passionnément et à la folie. Eléonore a parfaitement conscience qu’elle n’est que la maîtresse, même si l’Empereur éprouve de tendres sentiments pour elle. Il y a l’épouse, Joséphine, ainsi que cette nouvelle venue qui lui fait de l’ombre. Elle aimerait lui prouver qu’elle est digne de rester à ses côtés. Elle aimerait être celle qui apparaît à son bras lors des réceptions officielles. Voila la vie qu’elle aurait aimé vivre, aux côtés de celui qu’elle aime plus que tout. Un regret autre est celui de s’être fait bernée par son premier époux, ce sale escroc qui s’est joué d’elle. Si elle a un moyen de lui rendre la monnaie de sa pièce, elle n’hésitera pas. Mais cela lui a permis d’une certaine manière d’approcher Marat et ainsi de devenir celle qu’elle est aujourd’hui. Eléonore est une jeune femme qui vit la vie comme elle vient, elle n’a pas vraiment de regrets, outre ceux que l’on vient d’évoquer.

Les tuileries vous attendent, aurez-vous le courage de vous y rendre?

« Ange ou libertine? »
Eléonore possède de multiples facettes. Pour l’entourage, c’est une femme sérieuse, qui ne s’est donné qu’à son époux en premier. Certes, être la maîtresse d’un homme marié, même Empereur, ne vous donne pas une aura de femme pieuse. Mais Eléonore est d’une fidélité exemplaire, tout du moins à Bonaparte. Il a son cœur et elle ne va voir nulle part ailleurs. Certains hommes de la Cour n’ont pas hésité à l’approcher, avec prudence cependant, mais ils se sont faits signifier une fin de non recevoir. Eléonore, dans l’intimité, est totalement libre. Elle est fraiche, inventive et passionnée. Impétueuse même. Une fougue qui est sûrement responsable de l’engouement de l’Empereur à son égard. Ne boudant aucun plaisir, elle sait très bien comment plaire à son royal amant. Elle s’amuse, tantôt docile tantôt farouche. Avide d’apprendre, elle n’hésite pas à s’adonner à des pratiques peu convenables en ce temps, mais avec Napoléon, la tendresse gouverne leurs jeux sensuels.
« Royaume ou Empire? »
La jeune femme est d’une loyauté sans faille envers l’Empereur. Amoureuse éperdue, elle ne jure que par lui. Elle estime, sans trop s’y connaître, que c’est un excellent monarque, avisé et sachant gouverner. Eléonore craint Louis XVIII, qu’elle méprise également. Elle ne manque jamais une occasion de rappeler à Bonaparte qu’il est bien meilleur que son rival et qu’il n’a aucune raison de craindre ses prétentions au trône. Les guerres qu’il mène déplaisent à Eléonore, même si elle comprend leur utilité. Elle préférerait que Bonaparte soit plus souvent dans ses bras. Mais la grandeur de la France est une idée qui lui est chère. Elle possède une intelligence qui lui permet de comprendre les enjeux.
«Fidèle ou comploteuse?»
Eléonore n’est pas une espionne au service de l’Empereur. Certes, il lui est souvent venu des idées romanesques en tête, de sauver Bonaparte en révélant un complot monstrueux. Mais cela ne relève que de l’imaginaire. Bien sûr, la jeune femme n’est pas sotte et entend parfaitement ce qui se passe autour d’elle. Elle sait que Louis XVIII est prêt à tout pour reprendre ce qu’il estime être son bien et son héritage. Elle tente de protéger Napoléon du mieux qu’elle peut, fidèle parmi les fidèles. Elle cherche à en savoir plus, à apprendre par le bouche à oreilles qui sont les responsables, les criminels qui en veulent à l’Empereur. Et dès qu’elle apprend quelque chose, elle le rapporte à Bonaparte. Jamais elle ne le trahira, et il le sait.

Pardonnez-moi, je n’ai pas bien saisi.

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Éléonore de la Plaigne
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MessageSujet: Re: Eléonore de la Plaigne [Terminé]   Eléonore de la Plaigne [Terminé] EmptyDim 9 Jan - 9:38

Désolée pour l'attente (et le double post). J'ai terminé !
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Napoléon Bonaparte
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MessageSujet: Re: Eléonore de la Plaigne [Terminé]   Eléonore de la Plaigne [Terminé] EmptyDim 9 Jan - 16:54

Bonjour ma tendre et belle favorite,

après avoir ardemment suivi toutes les modifications de votre présentation, je suis heureux de vous accueillir à notre cour. Votre validation est évidemment effectuée avec le plus grand des plaisirs!

Je vous laisse prendre le chemin des rangs, des logements, ainsi que la création de votre fiche de liens.

J'espère que vous vous allez vous plaire parmis nous, nous sommes ravis de vous accueillir!

Napoléon.
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